En premier, elle lui câlina le calice cahin-caha
Le calma, lui calfata un calmar avec le cadenas de son caftan
Puis calculant le calibre, elle se fixa les cale-pieds
Pour lui calligraphier la cactacée et lui cafouiller son cacatois.

Il cabotait caduque,
Les yeux en cabriole
Le cabestan cabochard et le camping-car cabotin...

- S'il te plaît, pas de camisole, ni de camouflage, seulement quelques calottes au cambouis...

Caressée le long de sa cambrure, culottée en cachemire, un camélia pour le camelot
Elle cafouilla, cadra, cadastra et cacheta le cadet.

Une heure plus tard, comme au café-théâtre,
La canadienne repartit en calèche, son calendrier et sa calculette près de son calepin.

C'est à ce moment-là, qu'il camoufla sa cafetière encore cajoleuse, canarda son canotier sur son canasson
Et carapaçonna sa capsule capiteuse.

Quelques cahots capillaires plus tard, il caréna sa cacahuète en capharnaüm et se carra dans sa carpette.

''Quelle calomnie ! s'écria-t-elle,
Calamistrer comme un cake, c'est cash mais ça ne vaut pas un cabochon ! Même cabossé !''

(je suis assez d'accord avec ça)