On peut penser que c'est naturel pour ce type de profession. Une sorte d'empreinte. Une estampille.
À chaque fois, un trouble m'assaille[1] lorsque j'admire cet objet. Mon regard est fasciné et mal à l'aise.
On y voit les coronaires, la veine cave, les oreillettes, les ventricules, l'aorte… Des artères peintes en bleu, d'autres en rouge…
La nudité de l'intérieur du corps. C'est un peu du voyeurisme, je trouve.
Notes
[1] Un trouble africain?
