Autant l'avouer : j'aime beaucoup zéligrer autour d'une tasse de cafrais.

En cachette, j'éploustache les crocs d'un crataud des pinèdes
Puis j'attaque un koimembert à flasque molle dans le sens des aigrilles d'une buteuse ovoïde.

Dans ces moments de patimalaxage où l'éclostiche se marie si bien avec le vélocipathe glandique
Rien n'est plus beau, rien n'est plus époustravique ! Rien n'est moins masturbinocleux !

Sauf peut-être, un vol d'étournibillons cendrés quand le soir le soleil se broustitille le spectre
Et que la lumière décline...

Et se broustiller le spectre, je dis : "respect !"

Et ne me faites pas dire que je ne sais pas reconnaître -en ces moments de calme plistouillé- la différence entre les yeux des moutines qui me regardent et le pédonclard à mazcraque fleuri !

C'est vrai. C'est sans doute vanillé de ma part, mais on ne se refait pas (sauf si on est glaiseux du colbar) (j'en connais et je peux les dénoncer ici même !)

Mais j'aime tant épousailler les mots.

Et vous ? Époustouflez-vous les phrases ?