Quand, en attendant son double sur les marches de la mairie, le mathématicien met en parallèle sa vie avec celle de son ami le physicien… Il n'a plus qu'une envie… Celle de prendre la tangente… Et de quitter son petit cercle d'amis qu'il a invité à la cérémonie…[1]

Après la noce, les nouveaux mariés aditionneront les baisers, soustrairont leurs vêtements , diviseront les couvertures et se multiplieront…[2]

Le mathématicien s'était soustrait à la foule. Mais s'était sans compter l'infini ensemble de probalité nulle de trouver une solution à l'angoisse qui le divisait en deux moitié d'une même entité... Mariage plus avoir les foies étaient égale à la nausée. Cette équation fut résolue quand sa promise le retrouva. Elle énnonça ce théorème d'archi-simple: " Sachant que je t'aime et que tu m'aimes, rien ne peut nous diviser". Et c'est ainsi qu'ils participèrent à la multiplication de l'espèce…[3]

Les cardinaux de la famille du mathématicien, venus en nombre et tous vêtus de 9, préparèrent le 20 de la messe puis commencèrent à se faire du mauvais 100… Les mariés étaient en retard…[4]

(Le mariage n'est -il pas l'addition de deux coeurs qui se soustraient à leur solitude pour se multiplier et qui sait parfois ça finit par une division…)[5]

Léger retard somme toute pas tres important mais à 1000 lieux de leurs habitudes 20 dieux!! pensa le curé… Je leur laisse encore 10 minutes! Pas 1 de plus.…[6]

Saviez vous que sa moitié lui apprend le paso-doble ?[7]

Il se versa un double whisky, tourna sa langue 7 fois dans sa bouche (il s'entraînait) et pensa que ce jour serait 1 jour béni. En 1 éclair, il démarra en trombe avec sa 307 pour la réjoindre à Troyes. [8]

Sauf que la somme de ses amours était partie en villégiature à la Réunion. Elle demeurait au 6, rue du 18 juin 1942 dans la ville Dix-neuvième. A moins que ce ne soit dans celle de Quatorzième.[9]

Mais sur la route, en pleine ligne droite, il reçut 1 message sur son portable… Encore 1 problème familial à résoudre ! … Oh! Les 3 1/4 du temps c'est en réalité 3 fois rien… Et pourtant, à l'intersection, après avoir fait 1 rapide calcul mental, il n'en fit ni 1 ni 2, rebroussa chemin et prit la direction de 7…[10]

Quand 20 le soir, il mangea un quatre-quarts qu'il paya 5 euros… Retrouva sa femme qui était en5te (et oui, déjà !)[11]

6 7 1 fille… Nous l'appelerons 4ine , 100drine ou 1000ène mais 6 7 1 garçon… Nous l'appelerons 20 - 100…[12]

La jeune mariée, en robe mini s'écria :

- Ma moitié au minimum c'est Max ! C'est Max ! Un type pas moyen du tout qui habite la Mayenne ![13]

Mais la mariée avait la matrice diagonale, ce qui est déterminant. Cette quasi-de(a)nse en au voisinage d'un groupe compact était un vecteur de renormalisation. Bon, c'est complexe, mais ça s'affine.[14]

Il se voit donc déjà père d'une famille nombreuse[15]

Mais Madame n'est peut être pas sur le même compte. Elle ne souhaite pas être trop souvent aux 400 coups. Oh !!! qu'est-ce que je raconte moi ?[16]

J'aurai du dire... judicieuse réduction / soustraction pour rester dans la suite du billet.[17]

" Ecoutez… , Dit le mathématicien excédé à sa marmaille excitée ,… Trouvez une formule pour faire moins de bruit… Le nombre dort !… [18]

Le nombre d'Or ? C'est la course, la dernière ligne droite entre le 7 et son benjamin, le 12. Ce dernier frôle les tangentes pour bien se placer entre les abscisses et les ordonnées. S'il réussit, il gagnera la quadrature du cercle familial.

Telles sont les équations dans lesquelles le mathématicien est plongé depuis son mariage. L'enjeu est de taille : déterminer le nombre de ses vecteurs-descendants.[19]

Notes

[1] Claudine

[2] Le Peintre Charmant

[3] Luciole

[4] Claudine

[5] LaCigale

[6] laparhasard

[7] mercedes

[8] obni

[9] dda

[10] Claudine

[11] obni

[12] Claudine

[13] obni

[14] Cobab

[15] jf

[16] dda

[17] dda

[18] Claudine

[19] dda