Aujourd'hui, je suis bloqué par un mal au dos qui m'a empêché de me rendre à mon travail. Impossible de faire un pas devant l'autre sans souffrir. Les anti-douleurs et autres anti-inflammatoires n'agissent pas encore suffisamment.

Enfant, dans une situation de repos à la maison, lorsque j'étais malade, je me prélassais, je lisais des livres, l'esprit libre et disponible. Je jouais tranquillement et j'admirais les effets de lumières des rideaux. Grâce aux rayons du soleil, ils dessinaient des constellations sur le plafond de ma chambre. C'était féérique.

De nos jours, rien de tout cela.

Mon téléphone sonne, on me consulte à distance et je continue de travailler (mais le dos à l'abris d'un geste traumatisant).

Ah ! Le progrès !

Mais de quel progrès parlons-nous ?