Mer de rêves, de sel et de sens en excès
Mer de Grèce, de légendes, de repères
Tendresse en cet élément, que berce
L'extrême sève de tes lèvres.

Des textes détestent les gemmes.

Le temps s’enchevêtre.

Cette déesse que j'encense
C'est le sexe des tempêtes,
Le vent rebelle dressé
Les femmes éphémères telles des revenentes
Et des mecs qui emmêlent l'envers et le bel.

Cette mer erre le temps,
Et en elle, je me perds.[1]

Note

[1] J'ai pris la liberté d'utiliser la lettre e accentuée…