Le grand nain éreinté avait de petites mains, maintes et maintes fois peintes.[1]

C'est le saint chauve et hautain aux cheveux teints et reteints qui me donnera mon pain demain[2]

Crains les feintes de la sainte aux seins pleins et teints![3]

Ce boute-en-train mexicain sans entrain, ne chantera à dessein, ce vain refrain que demain, parce qu'il a trop faim.
La sainte ceinte se plaint d'un vilain mal de seins, elle est enceinte, c'est certain![4]

Un peintre avait le vain dessein de contraindre le vase d'airain à feindre le quelconque
Il est sain de chercher le saint au sein de la vie même si ce maintien nous semble vain et sans lendemain.[5]

C'est une feinte pour le puritain de se croire saint alors qu'il s'éreinte à répandre son purain chez ses contemporains[6]

Un paradoxe certain
L'histoire du franciscain
Qui faisait damner les saints
Mais qui en eut plein les mains
Car Obni l'avait contraint
À composer un sizain ![7]

Du pain pour la faim, du vin pour le teint, du pur sein pour la main... et enfin un bon bain ... et bonjour les dégâts ![8]

Serein, le mussipontain fumeur de plantain, cherche, dans le tableau du peintre andain, une trace de bleu Klein.[9]

J’étreins la vie
A pleines mains
Je la supplie
Pour du levain

Et pour qu’Obni
Comm’du bon pain
Est des quatrains[10]

Et des reins
Et des seins
Et des mains

Quand une sainte me dit qu'un saint vaut mieux que deux seins c'est sûrement à dessein, un pas saint comme moi et une saint nitouche risqueraient, c'est certain, de faire des insanités ..[11] Je geins
J'étreins
Je m'éteins[12]

Notes

[1] obni

[2] mercedes

[3] Karaba

[4] Peintre Charmant

[5] Tisseuse

[6] Tisseuse

[7] Peintre Charmant

[8] Claudine

[9] Anita

[10] Tisseuse

[11] jf

[12] Tisseuse