Seul. Regarder les empreintes.
Celles
du minéral, celles des rêves d'enfance, celles du partage qui ne
vient pas. Se sentir en osmose avec le lieu. S'accepter.
Amphithéâtre. Personne. S'asseoir. Respirer le vent chargé de mots
étranglés, cendreux comme des fumeroles magmatiques. Immobilité du
temps en phase avec le lieu.
Je ne retiendrai de cette ville-musée que cette impression de solitude bienfaitrice, usure des pavés. Musique qui tourbillonne à tire d'aile de tambours et de gongs.