Lucille de répondre, "parce que j'aime les yeux menthe à l'eau et que je veux que tu m'emmènes voir le cimetière des éléphants".[1]
Partons dès maintenant. Il faudrait arriver à Jambalayha avant Les tuniques bleues.[2]
C'est un coin qui me rappelle la dernière séance les nuits de pleine lune et je lui raconte ma vie.[3]
Mais méfie-toi, je ne suis pas dupe...T'es qu'un joueur finalement ! Et si tu touches encore la peau d’une autre, je sens que je vais craquer bientôt…[4]
Je sais que je fume trop, je sais que je bois trop... Faut que j'me tire ailleurs ![5]
Je l’aime vraiment beaucoup ton homme de paille, le beau Marc mais… ce n’est pas le Big boss man, celui qui est complètement fou d’Alice…[6]
Bascule avec moi sinon on n'aura pas de boogie woogie avant de faire nos prières du soir.[7]
Je voulais un peu m'éloigner de La route 66 et sauter Le Rio Grande afin d'aller voir ailleurs que chez Monsieur Schmoll[8]
Ah, Msieur Obni, v'z êtes une vieille canaille, mais c'est vous l'plus grand, malgré vos soixante, soixante deux. Ah zut, c'est raté pour le lèche-bottes blues: mauvaise option.[9]
Mais oui bien sûr...la route 66!!! Aaah l'idée!!! Bye bye Johnny B. Goode![10]
Il ne rentre pas ce soir, parce qu'il va chanter dans les bars : Be bop a lula. Et la voix d'Elvis lui fera penser qu'il est en manque de toi, J'ai oublié de l'oublier. C'est comme quand j'étais môme et qu'on allait voir la dernière séance. Nostalgie, nostalgie[11]
Mais C'est la vie mon chéri, on a le baby blues… Et moi ce moine je l’aime infiniment car chaque matin il se lève pour décrocher les étoiles...[12]
C'est facile, comme quand j'étais môme, à l'évocation du Smoll, je chante, je dandine, j'vous dérange ?[13]
Crois-moi mon cœur…Y'a pas de mal à se faire du bien[14]