L'animal qui aime tant l'homme s'ébrouait.
La saison des feuilles sur le sol était là et bien là !
Lui, n'aimait que ce regard vert marron, ces cheveux dans le vent, cette envie d'apprendre et cette main dans la sienne.[1]

'homme qui aimait tant l'animal qui aime tant l'homme s'allongea sur le blanc manteau recouvrant la colline et s'endormit, prêt pour le long voyage jusquà la nuit des temps..[2]

Et de son grand manteau blanc, elle recouvrait tout, amortissait tous les sons, saupoudrait la campagne de cristaux éphèmères étincelants.[3]

Cette maudite faucheuse au sourire sarcastique qui n'épargne personne ne devrait pourtant pas avoir place dans ces moments solennels de belles réjouissances familiales ou amicales...[4]

Notes

[1] obni

[2] Mercedes

[3] Tisseuse

[4] Claudine