Comme un volcan devenu vieux
Mon coeur bat lent'ment la chamade
La lave tiède de tes yeux
Coule dans mes veines malades

Je pense si souvent à toi
Que ma raison en chavire
Comme feraient des barques bleues
Et même les grands navires

J'ai la raison arraisonnée
Dans un port désert
Dérisoire toute ma vie s'est arrêtée
Comme s'arrêterait l'Histoire

Salut l'artiste ! Tes mots et ton âme vont me manquer !

J'ai découvert ce soir sur le blog d'Aurora un billet splendide sur Etienne Roda-Gil.