Y sont évoqués la Web-écriture qui rejoint le flux commun, en devient un fragment, une effilochure. C’est une solitude jetée dans la mêlée, pour devenir une incomplétude., le blog comme métonymie Un petit mot qui éclate presque sans bruit, comme une bulle de savon, pour dire sa vanité. Miroir global et éphémère, totalité et vacuité et les rapports qui lient le carnetier à son blog or le web est singulièrement éloigné des corps, et les internautes stigmatisent bien cette séparation lorsqu’ils adoptent des alias qui brouillent leur filiation biologique. Ils le font avec une incroyable facilité qui est sans commune mesure avec la décision longuement réfléchie par un écrivain d’adopter un nom de plume.

Personnellement, j'ai relu et relu cet article.

Tout cela est singulièrement bien observé.