Pierre qui glousse n'amasse pas rousse
Pie qui pousse n'amasse pas couche
Pic qui mouche ne mâche pas louche
Cri qui tousse ne lâche pas pouce
Henri qui couche n'arrache pas douce

Et le félin au regard diurne contemple la forêt…[1]

Pierre qui roule n'amasse pas mousse
Prière qui saoule n'amasse pas foule.
Pierre qui refoule se cache de tous.
Pierre qui tousse ne masse pas poule.
Père qui déboule se fâche : la frousse.

Et le regard diurne fait contempler la forêt au félin.[2]

Lierre qui pousse n'efface pas brousse
Fier qui roucoule en masse ne trousse
Peter qui blues, guitare secousse
Jambières qui moulent appâtent maousse
Paupières qui croulent, regard se housse

Et la forêt contemplée enféline le regard diurne...[3]

Pierre qui roule n'amasse pas mousse
Mousse sans douce n'émousse pas mousse
Rousse qui glousse n'amasse que mousses
Douche sans mousse repousse la douce
Rousse trémole affole la douce

Et le félin diurne fait mine de contempler la forêt ..[4]

Notes

[1] obni

[2] Cédric

[3] Tant-Bourrin

[4] jf