Lou lit Poe, ses yeux sont des scarabées d'or, elle a caché la lettre volée rue Monge où Baudelaire la rejoindra cette nuit pour traduire ses premières impressions.[1]

Ses impressions, ses mots nés de leurs amours volés sous le regard ambré du chat noir.[2]

Assis sur le trottoir, face au chat noir, Edgar hagard essaie de faire ses contes quand les lunettes qui cachent ses yeux bouffis par des crises d'éthylisme tombent dans le caniveau… En plongeant sa main pour les récupérer, Edgar découvre qu'elles sont tombées sur une bouteille contenant de toute évidence un manuscrit… Euréka ! pense-t-il…[3]

Sur le manuscrit… Comment faire maigrir un hippopotame, ou l'hippo succion…[4]

Bérénice, surprise par la fougue d'Edgar, lui répond : " Oh mon ange !… comme tu deviens bizarre ! Dès cet instant je t'appellerai l'Ange du bizarre… Je te préférais quand tu avais le démon de la perversité…[5]

En route il rencontra Bérénice et lui dit avec fougue car le coeur est révélateur :

- Bérénice, n'aie pas peur de mon ombre noire comme les ailes du Corbeau. Je te raconterai moult histoires extraordinaires. Je t'écrirai autant de lettres d'amour en admirant tout le jour ton visage si joli dans le portrait ovale.[6]

- Quel pot ! pensa Poe plein d'égard pour le rédacteur de cette note d'espoir… Enfin une solution pour retrouver ma peau et mes formes de jeune garçon !… Le manuscrit en main, Poe plein d'allant prit la direction du club de l'in-folio pour régler ses contes…[7]

Mais si Lou lit Poe est-ce que Li lit Puth ?[8]

Cette pensée surréaliste devint une vraie obsession pour Edgar… Qui était Puth ? Curieusement, Il pensa à Jean-Baptiste Grenouille… Il huma l'air et sourit.[9]

Notes

[1] Samantdi

[2] dda

[3] Claudine

[4] Peintre Charmant

[5] Claudine

[6] dda

[7] Claudine

[8] mercedes

[9] obni