Elle prit un peu de sel
Et saupoudra les draps puis ses épaules.

Elle plaça avec délicatesse une gousse d’ail
Dans chacune de ses narines.

Le soleil dardait avec force sa peau duveteuse.

L’épiderme craquelait, remplissant d’un fumet délicat
Toute la plage de sable fin.

De temps à autres, il arrivait
Armé d’une lèche-frite
Et l’arrosait avec soin pour qu’elle soit tendre de l’intérieur.

La rosée serait pour plus tard. Le rosé aussi.