Aujourd'hui 17h24. Marseille. Je m'engage dans le boulevard. Un cabriolet de marque allemande, rutilant, neuf comme s'il était sorti de l'usine, de couleur blanche déboule. Au volant, l'air de rien : Djamel Debbouze, décontracté, seul.

La voiture est là, juste devant la mienne.

L'acteur conduit avec souplesse.

La décapotable s'engage vers l'entrée d'un l'hôpital. Un type, qui en sortait, s'arrête net. J'observe la nuque de l'acteur, ses cheveux noirs enduits de gel.

Je continue mon chemin.