Ce qui craque c'est l'allumette qui allume le feu, puis ce sont les peaux des marrons qui crissent sous la braise étincellante… Vient ensuite le croquement sous la dent du fruit chaud.

« Chauds les marrons ! »

Tout à l'heure, je suis passé non loin de cette rue où se tenait un marchand de marrons lorsque j'étais enfant. Son échoppe était une sorte de locomotive où les fruits revigorants (et peu chers) étaient sensés représenter le combustible de l'engin.

Toute une époque !