J'en ai parlé récemment sur les Impromptus. J'ai envie tout à coup de réécrire ici ce très beau texte de Jean-Roger Caussimon (1918-1985). C'est ma façon à moi de lutter contre l'oubli et pour que cet auteur, dont les textes servaient majestueusement Léo Ferré, ressurgisse des éthers poétiques, encore et encore, et encore… pour nous émouvoir.
Merci à Estourelle de l'avoir fait revivre par ses commentaires éclairés.